CMPP de Chambly – Centre Médico-Psycho-Pédagogique

• l’accueil physique ou téléphonique des enfants et de leur famille,
• l’organisation des consultations et des rencontres avec les partenaires, la gestion administrative des dossiers des patients et contribue au cadre des soins.

• Il assure des consultations pédopsychiatriques et il procède à des évaluations diagnostiques.
• Il s’appuie sur les bilans pluridisciplinaires nécessaires et élabore avec les équipes et en concertation avec les familles, un projet de soins personnalisé en tenant compte de la situation globale de l’enfant ou de l’adolescent.
• Il coordonne les actions de prévention et de soin.

• Le psychologue propose un espace d’accueil et d’écoute de la parole de l’enfant ou adolescent, de ses parents et de sa famille.
• Le psychologue intervient dans le cadre de la prévention et de l’élaboration d’un diagnostic clinique en concertation avec l’équipe.
• Il peut proposer des espaces de soins psychothérapeutiques individuels, familiales et de groupe.

• L’orthophoniste intervient dans la prévention, l’évaluation et le soin des enfants et adolescents présentant des troubles du langage oral et/ou écrit, du raisonnement logico-mathématique ou de l’oralité.
• L’orthophoniste contribue à restaurer le désir et le plaisir de la communication dans la relation à l’autre.

• La psychomotricité est une approche globale de la personne qui fait intervenir corps (motricité, sensations) et psychisme (personnalité, émotions, vécu) afin de permettre à l’individu de s’adapter à son environnement.
• Le psychomotricien propose différentes approches à l’enfant ou l’adolescent pour le soutenir dans ces expériences et vécus corporels : exercices physiques, exercices de coordination, de motricité fine, d’expression corporelle, jeux symboliques.

• Le CMPP est sous la responsabilité d’une directrice de pole (pole prévention santé) avec l’appui d’une direction médicale et d’un responsable en CMPP. Ces derniers sont en charge de la mise en œuvre des soins, de la gestion de l’activité et de la gestion globale de l’établissement.

• Annexe 32 au décret du 9 mars 1956 (nouvelle fenêtre)
• Décret 63-146 du 18 février 1963 (nouvelle fenêtre), décret n° 56-284 du 9 mars 1956 (annexe XXXII ajoutée par décret n°63-146 du 18 février 1963)
• Convention des droits de l’enfant de 1989 (nouvelle fenêtre)
• Loi 2002-2 du 3 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale (nouvelle fenêtre), et notamment l’article 89§ II, du décret 2003-1010 du 22 octobre 2003,
• Loi n° 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé  (nouvelle fenêtre)
• Loi du 4 mars 2002 relative à l’autorité parentale (nouvelle fenêtre)
• Loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. (nouvelle fenêtre)
• Décret n° 2007-221 du 19 février 2007 (nouvelle fenêtre) pris en application du II de l’article L. 312-1 du code de l’action sociale et des familles relatif aux modalités de délégation et au niveau de qualification des professionnels chargés de la direction d’un ou plusieurs établissements ou services sociaux ou médico-sociaux,
• Décret n° 2016-994 du 20 juillet 2016 relatif aux conditions d’échange et de partage d’informations entre professionnels (nouvelle fenêtre) de santé et autres professionnels des champs social et médico-social et à l’accès aux informations de santé à caractère personnel
• Code de l’action sociale et des familles, articles D. 312-176-5 et suivants, (nouvelle fenêtre)

Tout enfant ou adolescent en difficulté peut être reçu de la naissance à 20 ans.

Un large éventail de problématiques sont reçues : problèmes de comportement, de conduites (alimentaire, du sommeil…), du développement, des apprentissages ou des relations avec les autres… dont le enfants et adolescents peuvent témoigner et qui attirent l’attention de leurs parents, enseignants, médecins ou entourage.

Il suffit de téléphoner ou de se présenter au secrétariat.

Non, la famille peut venir directement au CMPP. Toutefois, la famille peut informer son médecin traitant des démarches de soins entreprises.

Agréé par l’Agence Régionale de Santé (A.R.S) et la Sécurité Sociale, le règlement des séances est pris en charge financièrement par la caisse de sécurité sociale de la famille. Pour cela, la carte vitale ou l’attestation d’assuré social en cours de validité, sur laquelle est votre enfant, doit être présentée à la secrétaire.